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Porte-plumes

 

​

Cycle

Nos Grands 

​Ecrivains

Marie-Hélène Lafon à Saint-Corneille le 21 janvier 2010 

 



Marie-Hélène Lafon est l’auteur d’une dizaine de romans et nouvelles, ancrés dans la réalité d’un monde paysan révolu mais éternel ; elle dit d’elle-même « je suis un écrivain de sillon ».

Le 21 janvier 2010, elle est venue faire partager aux Compiégnois sa passion pour la littérature et l’écriture et évoquer son dernier roman L’annonce. Roman où elle raconte, avec son écriture courbe et mélodieuse, la rencontre entre la femme des villes et l’homme des champs, avec leurs tâtonnements, leurs silences et leurs bonheurs.

David Foenkinos à Saint-Corneille le 4 février 2010

 

 

David Foenkinos écrit, sur un ton qui n’est qu’à lui, des romans qui parlent d’amour et du couple, de ses fulgurances et de ses impasses. Ses univers loufoques et tendres ont leurs aficionados. On se souvient notamment du Potentiel érotique de ma femme qui a gagné le prix Roger Nimier.

David Foenkinos est venu nous parler de son dernier roman La délicatesse.

 

Delphine de Vigan à Saint-Corneille le 23 mars 2010 

 

 

Après No et moi (une adolescente vient en aide à une jeune SDF), roman qui a gagné le Prix des libraires en 2008, Delphine de Vigan a abordé dans Les heures souterraines, la souffrance au travail en même temps que la solitude urbaine dans un roman à la construction subtile : deux personnages, homme et femme d'une même ville, sont tous deux traversés par on ne sait quelle fatigue non dite. Se rencontreront-ils, se reconnaîtront-ils? L’écriture de ce beau roman est sobre pour exprimer les émotions retenues.

Delphine de Vigan a rencontré l’après-midi les lycéens de Compiègne puisque son dernier roman a été sélectionné par les professeurs de français pour concourir pour le Prix des Lycéens de Compiègne

Pierre Péju à Saint-Corneille le 25 mars 2010

 

© Hélie

 

Dans une dizaine de romans, Pierre Péju a réussi à concilier qualité littéraire et succès populaire : on se souvient de La petite chartreuse (Prix France Inter 2003) et du Rire de l’ogre (Prix du roman FNAC 2005). La diagonale du vide, son dernier né publié chez Gallimard, met en scène un designer talentueux qui, à l’occasion d’un drame personnel, laisse tout tomber pour partir à la rencontre de lui-même en explorant cette « diagonale du vide », étroite bande de terre qui traverse la France des Landes aux Ardennes, territoire sauvage et très peu habité. Il y croise une mystérieuse jeune femme et le roman s’enrichit alors d’une intrigue policière… Le livre est servi par l’ écriture poétique et sensible de Pierre Péju.
On a évoqué aussi ce soir-là Marée basse, un opuscule poétique que ce même auteur vient de publier sur la création littéraire, lorsque la « mer des mots s’est retirée laissant derrière elle bris de mots et bribes de mémoires ». 

Jean-Noël Blanc à Saint-Corneille le 20 avril 2010 

 

 

Auteur d’une trentaine de romans et nouvelles destinés aux adultes et aux enfants, Jean-Noël Blanc est par ailleurs sociologue de la ville. Cycliste du dimanche, il livre avec Le nez à la fenêtre, aux Editions Joëlle Losfeld, un roman sportif. Son écriture alerte nous fait découvrir, de l’intérieur, la performance de Momo, qui tente une échappée dans une étape du Tour de France. On souffre avec lui, avec lui on espère et on se dépasse. Au présent de cette performance répondent, en écho, des flashes back sur l’enfance de Maurice. Un livre humaniste servi par une plume virtuose qui rompt avec le tout à l’ego d’une certaine littérature hexagonale. (Entrée libre)

Le romancier a rencontré dans l’après-midi les lycéens de Compiègne, son roman faisant partie de la sélection du Prix des Lycées de Compiègne.

 

Léonora Miano à Saint-Corneille le 29 avril 2010

 

 

Originaire de Douala, au Cameroun, et résidant en France depuis 1991, Léonora Miano évoque, de romans en romans, l’âme du continent africain avec une langue remarquable. Saluée par la critique et plébiscitée par le public pour l’originalité de sa voix, elle a reçu plusieurs prix pour ses romans précédents : L’intérieur de la nuit (Prix Louis Guilloux 2006), Contours du jour qui vient (Goncourt des lycéens 2006) et Tels des astres éteints (2008).
Dans son dernier roman Les Aubes écarlates (2009), Epa un enfant soldat enrôlé de force échappe au chef de guerre et trouve refuge dans un centre pour enfants abandonnés. Il raconte alors son parcours et son récit fait apparaître les ombres enchaînées des morts de la traite négrière. Ces esprits qui hantent le quotidien d’Epa dénoncent la folie et la violence que l’Afrique perpétue contre elle-même. L’Afrique aura-t-elle de nouveau la chance de connaître des « aubes lumineuses » ?

 

 

Philippe Besson à Saint-Corneille le 25 mai 2010

 

 

Les lycéens de Compiègne ont élu le roman La trahison de Thomas Spencer de Philippe Besson, parmi quatre romans en lice cette année. Cette histoire d’amitié entre deux jeunes garçons dans l’Amérique des années 60 a séduit les jeunes lecteurs.
L’écrivain lauréat est venu à Compiègne pour recevoir son prix et rencontrer les lycéens le mardi 25 mai.
Il a accepté l’invitation des bibliothèques et est resté en soirée dans le cadre du cycle Grands écrivains à Compiègne à la bibliothèque Saint-Corneille.


 

Sylvie Granotier à Saint-Corneille le 8 juin 2010 

 

 

Les Bibliothèques ont reçu, à l’occasion de l’exposition polar, la comédienne, scénariste et auteur de romans policiers, Sylvie Granotier, pour son dernier roman, Méfie-toi, fillette, l’histoire d’une banale rencontre amoureuse qui mène aux voies obscures du terrorisme. Cette soirée a été aussi l’occasion d’évoquer Tuer n’est pas jouer, un roman machiavélique où Sylvie Granotier déploie toute sa connaissance du milieu des comédiens pour mieux nous perdre dans un labyrinthe de fausses pistes et de faux-semblants : la mort est un jeu et la manipulation un art !

 

Isabelle Autissier à Saint-Corneille le 17 juin 2010

 

 

Isabelle AutissierLa navigatrice, Isabelle Autissier, qui a participé à quatre tours du monde à la voile, est venue nous faire part de son expérience et évoquer son roman, Seule la mer s’en souviendra (2009). Isabelle Autissier nous plonge dans l’incroyable odyssée de Peter March, navigateur amateur qui se lança dans la première course autour du monde en solitaire et qui voulut faire croire à sa victoire en inventant sa position.

L’inauguration de la salle Michèle Le Chatelier a précédé cette rencontre
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Maryse Condé à Jacques-Mourichon le 21 octobre 2010

 

 

Née en Guadeloupe dans les années 30, Maryse Condé a écrit de nombreux romans qui interrogent l’identité noire et créole, dont Ségou, sa célèbre fresque historique. Elle préside le Comité pour la mémoire de l’esclavage et enseigne à l’université Columbia. Avant de quitter l’Europe, elle nous a fait le grand honneur de sa visite pour évoquer son dernier roman, En attendant la montée des eaux, l’histoire d’un médecin qui recueille une petite orpheline et décide de partir avec elle pour Haïti. Un récit poignant et pudique.

Alain Mabanckou à Saint-Corneille le 25 novembre 2010

 

 

Dans le cadre du cycle Grands écrivains à Compiègne, les Bibliothèques ont reçu Alain Mabanckou à la Bibliothèque Saint-Corneille.
Romancier, poète et professeur de littérature francophone à Los Angeles, Alain Mabanckou est né au Congo en 1966. Il a remporté en 2006 le prix Renaudot pour Mémoires de porc-épic puis a publié Black bazar en 2009. Son dernier roman, Demain j’aurai vingt ans, a pour cadre la ville de Pointe-Noire dans les années 70. Le narrateur, Michel, raconte ses années d’apprentissage de dix à vingt ans, ses amitiés et ses amours. Au fil d’un récit enjoué, Alain Mabanckou nous offre une sorte de Vie devant soi à l’africaine.

 

Ève Scavo, à Saint-Corneille le 9 décembre 2010 

 

 

Dans le cycle Grands écrivains à Compiègne, les Bibliothèques de la Ville ont reçu Ève Scavo le jeudi 9 décembre à la Bibliothèque Saint-Corneille. Ève Scavo, qui est compiégnoise, a été chanteuse dans un groupe de rock, journaliste de théâtre pour la radio et parolière. Elle est aujourd’hui biographe et publie avec Les Nuits blondes son premier roman chez Stock. Sur quelques jours, du 4 au 11 août 1962, le roman nous livre l’histoire de deux sœurs, Claire et Annabelle Berger qui tiennent un salon de coiffure familial en bord de mer. L’ombre de Marilyn Monroe, « l’âme jumelle » d’Annabelle, plane sur le récit qui aborde le secret de famille où l’on dissimule ce qu’on est dans les caves, les journaux intimes et les rêves. Les Nuits blondes fait partie des romans en lice pour le Prix des lycéens compiégnois 2011.

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